Télé-
chargements

L’apprentissage est le principal facteur de modèle de réussite de la Suisse. Avec l’avancée de la numérisation, elle devient plus importante que jamais. Nous devons renforcer nos écoles et former les jeunes professionnels de la meilleure façon possible, afin que la Suisse puisse continuer à être aussi efficace et performante à l’avenir et rester la championne du monde de l’innovation.

Les PME sont l’épine dorsale de notre économie. 60% de tous les emplois en Suisse se trouvent dans des petites et moyennes entreprises. Pour elles, la politique doit créer les meilleures conditions-cadre et réduire les obstacles bureaucratiques. Les PME sont le cœur économique de la Suisse !

Social
Je m’engage pour une sécurité sociale juste, qui nous permet de vivre ensemble pacifiquement. Nous devons impliquer encore plus étroitement toutes les couches de la population et adapter nos assurances sociales aux nouvelles exigences. Pour réussir, nous devons toutes et tous faire partie de la solution.

Environnement
Une gestion responsable de la nature et de ses ressources est très importante pour moi. Je m’engage en faveur d’une politique énergétique et environnementale durable, qui se fixe des objectifs ambitieux et, ce faisant, est orientée vers ce qui est réalisable. Si la société, les entreprises et la politique travaillent bien ensemble, nous réussirons la transition énergétique et pourrons renforcer davantage la prospérité et la sécurité dans notre pays.

Le progrès a de nombreux visages et ne signifie pas toujours avoir plus de tout, mais faire les choses différemment. L’intelligence artificielle est là et progresse à une vitesse vertigineuse. L’évolution mondiale nous met également sous pression. La politique doit faire preuve d’habileté et de prudence, de courage et d’ouverture, déterminer les conditions-cadre de manière à ce que nous puissions assurer notre prospérité pour les prochaines décennies grâce à notre force d’innovation.

La formation est la matière première essentielle de la Suisse. Une bonne formation est la base d’une Suisse prospère. Nous avons besoin des meilleures possibilités de formation initiale et continue pour nos jeunes. Pour nos chercheurs et chercheuses, nous avons besoin des meilleures hautes écoles et de l’accès à des programmes de recherche internationaux.

La prospérité en Suisse n’est pas une loi de la nature. Cela nécessite un haut niveau de motivation et d’adaptabilité de la part de toutes les parties impliquées. De nombreuses entreprises internationales ont leur siège en Suisse. Parce que notre pays est sûr et stable, a un niveau de formation très élevé et pratique une politique fiscale libérale.

Déclaration sur les communes
En tant que mairesse de Nidau et députée au Grand Conseil, l’autodétermination des citoyennes et citoyens, des communes et du canton est une préoccupation importante pour moi. Les personnes ne ressentent un sentiment d’appartenance que si elles peuvent s’impliquer et que leur voix est entendue.

La proximité avec les citoyennes et citoyens conduit également à une plus grande attention à son propre environnement et à une utilisation responsable des ressources. Ce modèle réussi des 26 cantons et 2000 communes est efficace et garantit que l’État ne continue pas à croître et à assumer de plus en plus de tâches pour tout le monde.

Déclaration générale
Une tâche importante de la politique est de créer de bonnes conditions-cadre pour l’économie, assurer le bien-être et la sécurité de la population. Cela nécessite un environnement stable pour les PME et suffisamment de mains-d’œuvre qualifiées. C’est pourquoi je m’engage dans le secteur de la formation, de la recherche et de l’innovation. Pour que la Suisse reste compétitive, nous devons saisir les opportunités de croissance et de développement. Responsable. Libérale. Juste.

 Déclaration générale
En tant que membre d’une PME, je constate que de plus en plus de ressources doivent être investies dans la bureaucratie plutôt que dans l’innovation et les services.
En tant que mairesse, j’apprends que les communes sont de moins en moins en mesure de façonner les choses librement, mais qu’elles n’ont qu’à les mettre en œuvre.
En tant que députée au Grand Conseil, je constate combien de fois et avec quelle joie tout est délégué à l’État au lieu de faire confiance à l’économie et à la société pour trouver des solutions.
Je défends la politique libérale – dans la conscience constante que chaque franc dépensé par le secteur public doit d’abord être gagné dans l’économie.